Mes Formation

 

  • Diploma in Naturopathic and Herbal Medicine (Unani Tibb, médecine gréco-arabe)    College of Medicine and Healing Arts

  • Rapid Transformation Therapy RTT Practitionner Certificate                 The Marisa Peer School

  • Hypnothérapeute: The Marisa Peer School

  • Functional Nutritionist and Lifestyle Practitioner (FNLP)               Functional Nutrition Lab

  • Praticienne DARe (Dynamic Attachment Re-patterning): Thérapie somatique et sur l’attachement

  • DDP ( Dyadic Developmental Psychotherapy) niveau 1 et 2: 

  • Theraplay niveau 1

Mon Histoire

“Tu verras quand ta fille sera ado, elle sera horrible, une pourrie gâté.”

“Personne n’ose te le dire, mais ton fils c’est la terreur de la famille”

“Vous êtes 0 dans l’éducation de vos enfants, je n’ai jamais vu de telles crises chez un enfant.” 

Ce sont des phrases qui m’ont été destiné  (à mon époux également) il y a de cela plusieurs années maintenant, mais elles sont restés bien enregistrées dans mon esprit. Je ne leurs en tiens pas rigueur, car à l’époque, à leur place, j’aurai peut-être pensé la même chose. 

Rien ne m’a préparé aux crises d’angoisses et de colères chez ma fille aînée. Puis avec mon fils, c’était de grosses crises de colère, de l’agressivité, de l’opposition  et même de la violence. A l’époque je n’y connaissait pas grand chose aux troubles du comportement chez l’enfant. 

Heureusement, depuis, j’ai fais du chemin. Je me suis posée beaucoup de questions et j’ai fais beaucoup de recherches, comme vous, très certainement.

Les neurosciences me passionnaient déjà depuis mon hospitalisation à l’âge de 17 ans. Environ trois mois avant de passer mon bac, j’ai eu une sorte de « bouffée délirante ». C’est une sorte de psychose.  

J’ai été hospitalisé en psychiatrie pendant un mois. C’était il y a plus de quinze ans, et pourtant je me rappelle de certaines choses comme si c’était hier.

Cet épisode a bouleversé ma vie et ma perception de la vie.

Mon médecine m’annonça des statistiques moroses. J’avais environ 50% de risque de rechuter la première année et sur cinq ans entre 20% à 30%.  Il me prévint également que je ne récupérerais surement jamais la totalité de mes capacités cérébrales, que je fonctionnerais au mieux à 80%. 

J’ai le privilège d’être doté d’une forte détermination. J’avais décidé que ces chiffres ne s’appliqueraient pas à moi. J’atteindrai mes rêves et mon cerveau arrivera au top de ses capacités.

Je suis entrée en fac de pharmacie comme prévu pour devenir phytothérapeute. J’apprenais en détail le fonctionnement de la cellule, mais quelque chose ne sonnait pas juste.

 Je savais qu’il y avait autre chose de plus fondamental que je devais apprendre avant et décidai de ne pas continuer dans cette voie.

La Rencontre

J’ai enfin découvert la médecine gréco-arabe. C’était le début du commencement de ma réelle guérison.

Un voyage en soi ou on apprend à se pardonner de ne pas avoir été, croit-on, suffisamment fort.

Je découvris avec stupeur et émerveillement comment notre alimentation et mode de vie pouvaient affecter le fonctionnement de notre cerveau. Je m’étais promise d’essayer de comprendre ce qui m’étais arrivé, comprendre pourquoi mon cerveau m’avait trahi, enfin je commençais à comprendre.

J’aime utiliser la métaphore d’une porte qu’on ouvre sur un champ de lumière vaste et étendu à l’infini.

J’apercevais enfin le début timide de cette lumière.

Assoiffée de savoir, et toujours en quête d’en apprendre plus sur le cerveau, j’ai poursuivie des formations dans la nutrition fonctionnelle et la thérapie en transformation rapide (RTT). Mes séances en RTT ont permis d’enlever des couches supplémentaires très profondes que seule l’alimentation et le mode de vie ne pouvaient pas atteindre.  Cela a été une révélation supplémentaire, de voir comment notre esprit et nos croyances inconscientes affectent notre vie. 

Ma Mission

Le comportement un peu “hors norme” de mes enfants m’a naturellement poussé à mieux comprendre les troubles du comportement et de l’humeur chez l’enfant.

Je ne proclame pas qu’il existe un remède miracle, mais plutôt un chemin unique à l’enfant. Ce n’est pas une pilule magique mais un travail sur le long terme. Ce n’est pas simple, mais cela en vaut tellement la peine. 

Le plus important est de garder espoir que les choses peuvent s’améliorer, d’y croire de toutes ses forces, mais surtout, de croire en votre enfant.

Ne cessez jamais de croire que votre enfant a un potentiel infini

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